Actualités: Alerte sur le suivi des recommandations de la communauté niassène concernant l’histoire générale du Sénégal des origines à nos jours

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Je voudrais, au regard des légèretés notées dans la démarche aussi bien dans le fond que sur la forme, à l’endroit de la personne d’El hadji Abdoulaye NIASS, et des tentatives de dénigrement de l’oeuvre de cet Grand Homme, attirer la vigilance des autorités de la communauté niassène.
En effet, ladite communauté se doit de vérifier tous les volumes et toutes les parties traitant l’histoire de toutes les figures Islamiques de ce pays afin de pouvoir détecter la moindre diffamation qui toucherait la famille niassène.
Entre autres, la communauté niassène doit exiger, comme l’a souligné le porte parole, Cheikh Mahi CISSÉ, lors de son point de presse, à ce que cette histoire soit écrite par les fils de la famille, à défaut, qu’ils soient membre du comité de rédaction de cette partie. Ils doivent aussi veiller et exiger à ce qu’il ait même une proportionnalité entre les pages consacrées aux différents érudits, chose sans laquelle il y aurait une discrimination. D’après les faits, je doute fort que cela soit le cas.
Je prodigue ces mêmes conseils à toutes les autres familles religieuses du Sénégal, pour le plus grand intérêt de notre cher pays
Les différents membres du comité initialement formé qui, comme l’ont attesté certaines sources, ont été écartés ou ont simplement démissionné, en un moment donné, à cause de l’attitude du coordonnateur, sans dénoncer ou alerter, ont tous une part de responsabilité dans cette affaire: c’est pas son histoire, on ne lui a pas confié le travail tout seul, et ce projet est financé par les contribuables sénégalais! Coordonner n’est pas synonyme de dicter sa loi! Ces événements sont le résultat de ces faits: c’était bien prévisible!
À la lumière de ces diffamations insoupçonnées, sans précédent dans l’histoire du Sénégal, l’État doit prendre les choses avec beaucoup de sérieux, sanctionner les fautifs en les mettant hors jeu: avec ces faits, ils ont perdu toute crédibilité. Et surtout mettre sur pied un comité de veille et de validation de tous les faits relatés dans ces documents avant impression, pour le plus grand intérêt de la nation. Ce serait une catastrophe, en voulant réécrire l’histoire à des fins éducatifs, d’enseigner aux futures générations de ce pays une fausse version.
Il ne s’est passé que de belles choses entre les sommités religieuses de ce pays. Ces choses méritent d’être décrites et perpétuées aux générations futures, et non d’être falsifiées!
« N’est pas historien celui qui au moment de relater des faits historiques, n’est pas en mesure de contrôler ses émotions ».
Signé Ousmane KOUTA, Secrétaire général de la Famille des Élèves, Étudiants et Diplômés Talibés de Baye NIASS (FETBN).
77 795 67 50.

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