DIAWAHIROU RASSA-IL : SEIZIÈME LETTRE DES OUVERTURES

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Concernant le fait de mentionner Cheikh dans la récitation
du « Maqsad » de la Fâtiha, et de ce que l’on ne le mentionne
pas dans le « Maqsad » de la prière de l’ouverture, (salâtoul
fâtihi).Quelle est la différence. Il n’y a même pas de
différence. La Fâtiha est une évocation d’Allah le très haut et
consistant en les Sept répétés et que personne n’a en réalité
récitée, autre que Seydil Woudjôd qui lui, l’a récitée par la
langue du plan secret, (hadaratoul katmiyati). Il en mérite
donc, (saw) toute la rétribution et la récompense. Sa station
est le commencement du commencement, (azaloul azal) qui
a illuminé la langue du plan de la katmiya (lissânoul Katmiya) en la lecture, (tilâwati) qui est un cadeau pour lui,
(saw). Sa lecture dans la généralité est la réalité de la lecture
du pôle caché, (katm) dont la réalité de la lecture, est la réalité du prophète, (saw).
Concernant la prière sur le prophète, il n’y a pas de doute
que n’a pas prié sur le prophète après la prière d’Allah, autre
que Cheikh, (ra) ce qui est clair, sans avoir besoin
d’éclaircissements , en ce que, c’est lui même qui prie.
Comment peut être vraie, pour les intellects une
chose,
Si le jour a besoin d’éclaircissements ?
Concernant le fait de le mentionner dans le premier
« Maqsad » c’est aussi sa mention dans le deuxième. Et elle a
été ôtée par crainte de répétition.
Wa Salam.
Transcrit des écrits de Cheikh Ibrahim Ibn El Hadji Abdallah Tidjânî, par le serviteur de la communauté Ibrahimiyya,
Al Hassan Aliou Cissé. Fin

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