Etoile divine de la Faydha: ZEYDA AISSATOU BINT IBRAHIM NIASS DIT MERE AIDA

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Mes pensées ne cessent de s’envoler vers Toi

Et de là j’ai su que je ne serai jamais loin de Toi.

Ton éloquence fut à la mesure de la femme idéale

Que Tu demeures auprès de Ton père, le multidimensionnel

Ta parole est le remède des cœurs et des âmes perdues.

De mon âme exilée, écoute la prière qui m’est venue

Tu es Maman Aïssatou, la clé de voûte de l’humanité

Car Tu as fécondé à Médine la quintessence de la sainteté.

Je voudrais comme Toi sacrifier ma vie pour Ton protecteur

Je voudrais lui donner et mon sang et mes pleurs…O Fille d’Adja Fatou Diop la diva du Saloum et de la Fayda

Tu es Aïssatou homonyme de Mame Astou Diankha

O Sainte bien-aimé, je contemple Ton histoire ravie

De même que l’onde lumineux qui loge dans Ton esprit.

Je crois entendre encore Ta douce mélodie dans la joie,

Oui Maman, Ton céleste chant arrive jusqu’à moi.

Et je vole vers Toi Ya Aïda pour dire Tes louanges

Car Dieu a exalté Ta renommée même auprès des anges

Laisse-moi reposer sur Ton cœur, qui de haine, est démuni

Les rayons d’amour de l’Astre créateur qui me conduit

Vers Ta suprême majesté O Pilote d’âme Divine ! Vers les voies fastueuses dans la cité miraculeuse de Médine

Toi le pur produit du majestueux Daara universitaire de Rabbani.

Tu as reçu la Tarikha Tidiane des mains de Cheikh Ibrahim

O fondatrice des Dahiras Mame Astou Diankha le suprême

Je sens brûler mon cœur d’une nouvelle flamme

Et je voudrai Ya Aïda que la Mahrifa habite dans mon âme, Par Ta grâce, O Planiste des Ziars je viens vers Toi Mame

Toi Sainte femme qui as converti pour la Fayda tant de cœurs! Et voilà la Face de Cheikh Ibrahim qui Te montra sa lumière, Le coran sacré repose sur Ton cœur et Tu demeures un saphir…

En reprenant aussitôt la voie divine avec un doux sourire: Je marche dans Ta cour Revêtu de l’habit emblème d’innocence, Tout en contemplant ravi Ta sublime puissance Je vois dans les jardins du Ciel, Tes fleurs qui éclosent

Et j’entends vibrer Ta voie séraphique toute rose, Je Te chante Sayda Aïssatou, cette sublime incantation, En Te dévoilant ainsi mon amour dans ma céleste mission. Cet amour qui ne craint pas et qui ne s’endort point

Sur le Cœur de ce nain de savoir comme un petit gamin… Je dois Te voir bientôt à Kaolack sur la rive éternelle Sur les flots orageux, alors guide en paix ma nacelle Près de Ton Cœur divin, Ta sublimité, j’oublie tout ce qui passe Ah ! donne-moi, Maman Aïda dans ce Cœur une place

O Mystère sacré ! que l’Amour a produit…Accepte mon poème ‘’Adiya’’, rien que pour aujourd’hui.

Toi la subtile beauté, le nectar cacheté, femme au noble rang

Ton nom résonne partout, Toi effluve des jardins de l’omnipotent

Bénie soit Ton apparition sur cet univers au vert étendard

Je me soumets à Ta cadence et me fonds dans Ta lumière

O Mère Aïssatou! laisse-moi reposer sous Ton voile Saint-ange gardienne des valeurs, couvre-moi de Ton aile

Protège-moi et Eclaire de Tes feux la route que je suis

Viens diriger mes pas… aide-moi, je T’appelle et Te suit.

EL HADJI ABDOULAYE FAMMA PLUME, UNE LUMIERE

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