Sagesse du jour : De son Taïba Niasséne en Chine (1964) en passant par Féz , la Faydha Tijaniyya continue de se déverser en trombe en illuminant les cœurs de la gnose

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L’année 1922 fut le témoin de la disparition des deux plus grandes figures de la Tijaniyya Sénégalaise. Le 9 juillet , Al-Hajj Abdoulaye Niass rendait l’âme , soit douze jours aprés Al-Hajj Malick Sy , décéde le 27 juin. A son fils aîné et successeur Muhammad , Abdoulaye Niass léguait le leadership d’une communauté économiquement prospére et trés réputé sur le plan intellectuel. Tel est le contexte dans le quel devzit naître et évoluer Cheikh Al Islam El Hadji Ibrahima Niass en octobre 1900 à Taïba Niasséne prés de Nioro du Rip , dans la région de kaolack. Son pére est El Hadji Abdoulaye Niass , et sa mére Sokhba Astou Diankha. Ce jour du 15 rajab est assurément un jour d’une importance primordiale pour beaucoup de terriens qui recevront la lumiére divine durant les soixante quinze ans qui suivent cette date , par son intermediare. De son Taïba en Chine (1964) , en passant par Féz (fief de la Tijaniyya) , l’Amérique , l’Arabie , et tout prés le Nigéria , la Faydha Tijaniyya va se deverser en trombe enilluminant les coeurs de la gnose , connaissance mystique , et du hubbu al-nabiy (l’Amour du prophéte). La position stratégique de kaolack el les relations suivies de son pére avec les lettres du Sénégal et de la Mauritanie et l’Afrique du nord font de sa maison paternelle un endroit privilégié où le jeune Ibrahim étidie non seulement les sciences religieuses éxégése , jurisprudence , théologie , grammaire arabe , rhétorique , métrique , biographie du prophéte (SAS) , etc.

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